Rencontre avec Michel Bussi – Tout ce qui est sur terre doit périr

Mardi dernier, j’étais invitée à rencontrer Michel Bussi à l’occasion de la sortie en poche de Tout ce qui est sur terre doit périr.

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La sortie grand format de ce livre ne vous dit rien ? C’est normal ! Il a été publié sous le pseudonyme Tobby Rolland. Michel Bussi voulait jouer avec son public et surtout voir si un de ses romans intéresserait le monde de l’édition et les lecteurs sans son nom sur la couverture ! Pari réussi semble-t-il, même son éditrice Pocket est tombée dans le panneau !

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La rencontre avait lieu dans un endroit que j’aime particulièrement. La salle de la Dame à la licorne du musée de Cluny, le musée du moyen-âge. J’ai découvert ces tapisseries majestueuses il y a quelques années en compagnie d’une amie passionnée. Ses explications m’avaient à l’époque envoûtée (merci Dominique pour cette belle découverte !) et depuis je suis fascinée par l’ampleur de cette oeuvre, mais aussi par tous les détails qui la composent, et dont on ne percera sans doute jamais tous les secrets.

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Vous ne connaissez pas cette tapisserie ? Je serais prête à parier que si ! Réfléchissez bien, si vous avez vu les films Harry Potter, vous avez déjà vu la Dame à la licorne ! Elle est le décor de la salle commune de Gryffondor.

Michel Bussi nous a expliqué la genèse de son roman, comment il avait eu l’idée de cette intrigue et comment les personnages se retrouvaient à paris dans ce musée, à contempler ces tapisseries. Et surtout il nous a présenté sa théorie sur l’arche de Noé et les licornes dont il est question en partie dans le roman.

Une personne du musée (dont je ne n’ai pas retenu le nom, mea culpa) nous a  ensuite présenté les tapisseries, du point de vue historique et artistique. C’était très intéressant et enrichissant. Je vais d’ailleurs ressortir le livre sur les licornes que j’avais acheté à la boutique du musée lors de ma première venue, et dont je n’avais tellement pris le temps de parcourir les pages depuis.

Un grand merci aux éditions Pocket, à Michel Bussi et au musée de Cluny pour cette soirée passionnante.

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